Polestar 2

100.000 kilomètres avec la Polestar 2 : Dwight en est fan

Temps de lecture 4 minConduite électrique
Le nombre de voitures électriques sur nos routes explose, mais il y a quelques années, les VE étaient encore d’illustres inconnus. C’est pourquoi beaucoup se demandent si un VE a une durée de vie équivalente à un véhicule traditionnel. Dwight Vandeput a parcouru en deux ans plus de 100.000 kilomètres à bord de sa Polestar 2. Et il confirme : « Au bout de 100.000 kilomètres, cette voiture est toujours comme neuve ! »
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Chez LeasePlan, Dwight est chef d’équipe dans notre magasin de véhicules d’occasion à Liège, à 92 kilomètres de son domicile de Kampenhout. Il parcourt donc plus de 180 kilomètres par jour avec sa Polestar 2. « Chaque mois, je totalise environ 5000 kilomètres, dont 1000 kilomètres en trajets privés », note Dwight. Autant dire qu’une voiture bien équipée est importante à ses yeux ! Et c’est ce qu’il a trouvé avec la Polestar 2, qu’il conduit depuis déjà deux ans. Son VE a depuis franchi le cap des 100.000 kilomètres. Et Dwight est toujours fan de sa voiture.

Pleins feux sur le confort

LeasePlan met un point d’honneur à ce que tous les collègues passent à une voiture de société électrique. Vu les longues distances qu’il couvre au quotidien, Dwight cherchait une voiture offrant un bon niveau de confort et d’autonomie. « Il y a deux ans, mes collègues et moi sommes passés aux VE. Nous avions le choix parmi une large gamme de véhicules et j’ai d’emblée jeté mon dévolu sur la Polestar 2 », raconte-t-il. « Après deux ans et 100.000 kilomètres au compteur, je suis toujours très satisfait de mon choix. Fluide dans la circulation, spacieuse et très confortable, cette Polestar 2 est vraiment la meilleure voiture que j’ai jamais conduite. »

Dwight apprécie particulièrement le One Pedal Driving (conduite à une pédale), qui actionne le frein moteur lorsque l’accélérateur est relâché, tout en rechargeant la batterie. « Ce système permet de faire des économies et facilite grandement la conduite. Je n’utilise plus ma pédale de frein que pour les arrêts d’urgence. De quoi rendre les longs trajets quotidiens bien plus confortables ! Je profite chaque jour d’un trajet reposant à bord de ma Polestar », affirme Dwight. « On dit souvent que conduire une voiture électrique n’est plus ‘vraiment’ conduire. Pour moi, cette critique n’est pas du justifiée : je ne vois pas en quoi conduire une voiture essence bruyante serait plus agréable. Moi, je suis conquis par les VE ! »

Changer de mode de conduite… et de vie

En passant au VE, Dwight a également adapté son mode de conduite. Il se sent aujourd’hui plus calme au volant. « D’abord, une voiture électrique est tellement puissante, qu’on adopte une conduite plus fluide en ville, sans faire de manœuvres dangereuses. Ensuite, on roule aussi plus calmement sur l’autoroute. Pour gagner en autonomie, il faut en effet avoir le pied moins lourd. Enfin, une charge rapide permet de prendre 10 à 15 minutes de temps pour soi et pour se reposer. Je peux donc dire qu’on se sent plus détendu au volant d’un VE », explique Dwight.

Ce VE, Dwight le recharge surtout à domicile et au travail. « Comme je suis au magasin toute la journée, j’y branche ma voiture à la borne de recharge. En fait, je n’ai jamais l’impression de vraiment faire la démarche de charger ma voiture, car je la branche pendant que je travaille. » Bien sûr, les trajets plus longs demandent un peu plus de préparation. « Avant de partir en week-end ou en vacances, je vérifie toujours quel itinéraire emprunter pour pouvoir recharger en route. Mais honnêtement, on s’y habitue vite. Et une fois qu’on connaît bien la capacité de sa voiture, c’est assez facile », souligne Dwight.

Un peu plus de bornes

N’y a-t-il donc aucun bémol à la conduite électrique ? « Si, quand même », avoue Dwight. « On se retrouve parfois dans l’embarras. Quand on est confronté à un imprévu et qu’on a besoin de sa voiture, mais qu’elle n’est pas totalement chargée, par exemple. C’est pourquoi j’essaie toujours d’avoir entre 20 et 80 % de capacité. Ou quand on cherche une borne de recharge publique, mais qu’elles sont toutes occupées ; cela peut être très agaçant. Il m’est déjà arrivé, lors d’un séjour à la mer, de devoir me rendre au village d’à côté pour recharger ma voiture », raconte Dwight.

« Mais le plus frustrant, ce sont les conducteurs qui laissent leur voiture chargée branchée à la borne. Heureusement, une certaine courtoisie se développe, notamment via notre campagne Happy Charger. Cela dit, je trouve que la Belgique pourrait investir un peu plus dans des infrastructures de recharge », conclut-il.

Vous envisagez d’acheter une voiture électrique ? Voici encore quelques conseils de Dwight :

Publié le 14 septembre 2022
14 septembre 2022
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